Surprenant…

Vendredi, 28 novembre, au Marché de Noël de Reims, j’arrive sur un trottoir. Un gamin d’environ quinze ans, qui venait en sens inverse me balance alors des fleurs dans la main, particulièrement énervé, et me lance : « tenez c’est pour vous ! C’est de fleurs, ça mord pas ! » avant de poursuivre son chemin. Je garde les fleurs, elles sont jolies, mais je me demande bien ce qui à pu se passer. Peut-être voulait-il les offrir à sa copine qui n’en a pas voulu, et qu’il a dit « puisque c’est comme ça je les donnerai à la première fille que je croiserai ! » D’après son ton, c’est fort probable… En tout cas, c’est plus agréable de recevoir des fleurs, même dans ce genre d’occasion, que des coups ou des insultes ! ^^

(oups, raté) cross-over de septembre en octobre (Szlavik)

Panne d’ordi + surmennage au boulot = cross-over en retard Confus Embarrassé
on est début octobre et voici le co du mois de septembre, sur le mal de la rentrée. Pas hypermarant je sais, mais j’en suis atteint. dur de reprendre, non pas le boulot mais le rythme adapté : lever 6h, donc dodo avant minuit de préférence. sauf que j’ai du mal a reprendre un rythme de sommeil tôt, et je suis fatigué la journée.
Et moi encore je suis un adulte, imaginez les enfants ! et les ados pareil !
il parait que ça va rentrer dans l’odre d’ici quelques jours, j’espère !
j’arrète de me plaindre. à bientôt Levna et dsl pour ce billet mais je suis en manque d’inspiration. à bientôt les autres sur MagikSzlavik.
Szlavik l’endormi.

P’tite dent.

Ces derniers temps j’étais un peu bougon, et j’avais mal à l’oreille droite. Et vendredi dernier, j’ai compris : je fais une dent ! La dernière fois, c’était en 2002, une molaire juste avant les dents de sagesse. Pas de dents de sagesse en bas (on me les a ôtées car elles n’avaient pas de place), mais en haut on les laisse descendre. Elles ont mis du temps, mais elles finissent par pousser. C’est de famille, ma grand mère maternelle a eu ses dents de sagesse vers 60 ans !

Mon surnom de « P’tite dent » (inventé quand j’avais six ans, lors de la chute de ma première dent de lait), est redevenu actuel !

Eclat de rire en philo…

Pour certains, il s’agit d’un oxymore, mais ça existe, je vous assure ! Et je vais vous en apporter la preuve.

Tout se passe en terminale (littéraire), en cours de philo. Le prof (on l’avait surnommé Socrate) nous parle du Banquet de Platon, et dit qu’Alcibiade est amoureux de Socrate. Là, Matthias rétorque « ah, làlà… Tous des PD », ce à quoi Marie répond : « bah, tu sais, les Grecs… » ; et Socrate de conclure : « c’est vrai qu’ils ont cette réputation, mais elle n’est pas sans fondement », avant de rougir. Une seconde après, un éclat de rire général retentit dans la classe.

Si vous n’avez pas compris, pensez donc à la polysémie du mot « fondement », et là vous saisirez pourquoi cette carcajada.

Bientôt, d’autres histoires de profs, héhéhé… D’ici là, amusez-vous bien !^^

Un billet rare…

Eh oui, nous sommes aujourd’hui le 29 février. Ce billet du 29 février est donc un billet rare… Quand j’étais petite, je croyais que les gens nés le 29 février ne vieillissaient que d’un an en quatre ans. Je me disais que ça devait être drôlement bien de naître un 29 février pour vivre longtemps, mais que ça devait être embêtant d’attendre quatre ans avant de pouvoir fêter son anniversaire… Je venais de me rendre compte que toute chose a son avantage et son inconvénient. Et c’est aujourd’hui que je me dis une chose, qui peut-être permet d’être plus heureux dans la vie : pour une chose que l’on possède, il vaut mieux mettre en avant ses avantages pour bien l’apprécier ; pour une chose que l’on ne possède pas, il vaut mieux voir tous les inconvénients de cette chose pour ne pas regretter de ne pas l’avoir. Vous me suivez ? Bon, trêve de philosophie (pour le moment du moins), et à bientôt.

Une vie de fringues…

Dans la série des réflexions qui ne servent pas à grand chose, voici la dernière en date : la vie des fringues. En effet, on achète un habit. Il est tout neuf, on le réserve pour les grandes occasions. Puis le vêtement passe un peu, on le met désormais tous les jours. Et enfin, les années font le reste, et ce qui fut un habit, puis un vêtement, devient une fripe : on le réserve aux travaux, bricolage, sport, maison, … Triste destin que celui des fringues !…

Ventes post-Noël : un phénomène qui prend de l’ampleur…

Insatisfaits de leurs cadeaux de Noël, certains vont se précipiter (ou se sont déjà empressés) pour les mettre en vente sur E-bay. La poupée commandée devait avoir une robe rose mais elle en avait une bleue, le camion espéré devait être rouge avec des bandes jaunes mais il était finalement rouge avec des bandes vertes, l’I pod était trop gros, les converses étaient trop grandes, … Bref : d’après moi, c’est l’intention du cadeau qui compte : montrer à une personne qu’on pense à elle, lui offrir un cadeau, recevoir un cadeau. Si le cadeau reçu n’est pas totalement ce à quoi on s’attendait, quelle importance ? Et puis c’est mieux, les surprises ! Ce phénomène de revente des cadeaux prend de l’ampleur, mais je ne le comprends pas… Mais bon, l’avantage des grincheux qui revendent leurs cadeaux, c’est qu’ils peuvent nous permettre de trouver des cadeaux de dernière minute et moins chers que dans le commerce ordinaire. Faites donc un tour sur des sites comme E-bay ou autres du même genre : vous trouverez peut-être des cadeaux dans les ventes post-Noël…

La vie en Rubik’s Cube…

Cette semaine j’ai fait le rapprochement entre la vie et un Rubik’s Cube. Je m’explique :

On est un petit carré de Rubik’s Cube, un petit carré coloré. Autour, il y a d’autres petits carrés colorés. Car la vie est colorée, comme un Rubik’s Cube.

On est retourné dans tous les sens : d’autres cherchent à ranger le Rubik’s Cube, tout comme dans la vie on nous met dans des cases, on nous colle des étiquettes, on nous oriente…

Mais voilà, tout comme dans un Rubik’s Cube, la vie n’est pas si ordonnée d’avance : il y a toujours un carré qui reste différent : c’est la touche d’originalité qui rend vivable la vie. Si tout était déjà écrit d’avance, si tout était si facile, s’il suffisait d’aller dans une direction bien définie pour se retrouver à un endroit, sans jamais emprunter les chemins de traverse, la vie serait bien terne…

Et enfin, un jour, le Rubik’s Cube, au bout de nombreux efforts, d’essais, de trajets, de trajets contraires, de rencontres, de choix, d’événements subits… La vie se range. Il n’y a plus rien à faire. On meurt, tout comme après avoir fini le Rubik’s Cube on le range dans un tiroir… Jusqu’à ce que quelqu’un de malicieux s’amuse à chambouler de nouveau le Rubik’s Cube…

Et encore une aventure de la Poulette…

Hier, mercredi 12 décembre 2007, ma voiture m’a fait un drôle de coup : la clé coincée dans la portière.

Après mon cours Acadomia à Breuil, je vais chercher ma mère à Cormontreuil. Au moment d’ouvrir ma voiture, encore chez mon élève, la clé tourne bizarrement, et je dois m’y reprendre plusieurs fois avant d’arriver à ouvrir… Je mets ça sur le compte du froid, et hop, ça tourne sans problème quand je mets le contact. Je roule, j’arrive à Cormontreuil, je sors, et je ferme ma voiture. Et là, au moment d’ôter la clé, impossible : elle reste bloquée !

J’essaie de la faire pivoter plusieurs fois : rien. Je crache dessus, je souffle, je vais chercher de l’eau chaude, puis du savon : rien. Une dame dont les filles font de la danse avec ma mère arrive. Elle me demande ce qui se passe, je lui explique, et après de nouvelles tentatives infructueuses, elle téléphone à son mari,  qui lui conseille le dégrippant. Elle téléphone également au concessionnaire chez qui elle a acheté sa voiture, qui lui donne le même conseil. Comme elle habite à côté, elle va chercher chez elle du dégrippant. La clé refuse toujours de tourner. Le cours de danse est fini : on demande l’aide d’un des pères des gamines qui viennent de sortir, et ça ne fonctionne toujours pas. La clé de secours ? Elle est quelque part, rangée dans mes affaires, à 40 km de là…

Que faire ?

J’avais téléphoné à mon père, qui travaillait hier jusqu’à 20 h, pour lui expliquer la situation. Il obtient l’autorisation de quitter son poste le temps de trouver une solution au problème. Il arrive, essaie à son tour, et la clé refuse toujours obstinément de tourner. Il va voir le concessionnaire à côté, qui lui disent qu’il n’y a pas de solution simple (en gros, il faudrait la porter dans un garage…). Et pourtant, on ne peut pas laisser la voiture là, toute seule, la clé dessus (même si elle est bloquée, qui dit qu’elle ne se débloquera pas ?) Il faudrait essayer avec la clé de secours : quand tout est fermé, je peux ouvrir le coffre. On va tenter…

Ma mère me rappelle que j’ai peut-être mis ma clé dans un petit sac dans mon armoire ; moi je me souviens d’avoir mis quelques clés dans des boîtes… Ce qui est sûr, c’est que la clé de secours est dans ma chambre… Mon père et moi partons chercher la clé, tandis que ma mère surveille la voiture. Heureusement, elle peut se mettre au chaud et surveiller le parking. La dame est retournée chez elle, et revient porter du café dans une thermos. Je ne mets même pas une minute à trouver ma clé, et on repart. En chemin j’ai peur : et si le coffre ne s’ouvrait pas ?

Heureusement, le coffre s’ouvre. Et là, imaginez-moi en pleines acrobaties pour passer du coffre à l’habitacle ! Vous voyez la scène, ça y est ? Bon, je parviens à ouvrir les portes manuellement, mais les commandes « portes » ne bougent pas d’un pouce, et la clé demeure coincée. Pour couronner le tout, le carburant est un peu bas. Ah non, une seule tuile, c’est suffisant ! On ne va pas en plus ajouter une panne de gasoil ! Le problème, c’est que la fermeture automatique contrôle également la fermeture de la trappe à carburant… Après quelques essais, j’arrive tout de même à ouvrir la trappe à carburant sans forcer, et la voiture démarre. Mon père retourne travailler, la dame et ses deux filles rentrent chez elles, et ma mère moi repartons à la maison après un détour par la pompe.

Grâce au coffre, la voiture reste fermée et à l’abri. Mais c’est bizarre, cette histoire de clé. Demain matin on passe au garage. On verra bien…

 

Des p’tits trous, des p’tis trous, des jolis p’tits trous…

Mardi dernier (le 30 octobre), je me suis fait perforer les étiquettes, trouer les feuilles, estampiller les esgourdes… percer les oreilles, quoi ! J’étais avec ma cousine Nono, qui a 11 ans et les oreilles percées depuis l’âge de 2 ans.

A Noël dernier, j’ai reçu deux paires de jolies boucles d’oreilles… pour oreilles percées. Grrrr… Il fallait que je me fasse enfin percer les oreilles, mais je n’avais pas envie. Nono me tanne depuis longtemps : « quand est-ce que tu vas te faire percer les oreilles ? » Un jour, je lui réponds « quand tu viendras avec moi. » Et dimanche dernier, elle m’envoie un texto « tu viens à Reims lundi te faire percer les oreilles ? ou mardi ou jeudi ? ». Je me décide pour le mardi.

On arrive chez Claire’s, où je sais que les vendeuses percent les oreilles (il y a quelques années, j’avais pris des renseignements sur les perçages d’oreilles, mais sans pour autant passer à l’acte). Lorsque l’une d’elles me demande ce que je veux et que je lui réponds « je viens me faire percer les oreilles », elle me réplique « vous êtes majeure ? » Nono était pliée de rire. Je lui présente une pièce d’identité, comme l’exige la procédure « Ear-piercing » de chez Claire’s. Ensuite, Belinda (la vendeuse qui m’a percé les oreilles) me fait choisir les boucles d’oreilles chirurgicales qui me poinçonneront. Puis je remplis, lis et signe un formulaire. Belinda se lave les mains, enfile des gants neufs, me désinfecte les oreilles, dessine avec un crayon spécial les endroits où les troutrous seront, me montre dans la glace ce que ça va donner ; ça me va. Elle sort les boucles stérilisées de leur emballage stérile, les met dans les dispositifs, et approche de mon oreille gauche… Crac, c’est fait. On dirait une agrafeuse, c’est marrant. Puis c’est au tour de l’oreille droite. Et voilà, c’est fait. Elle me passe de la lotion spéciale, me montre ce que ça donne dans la glace… C’est joli ! Acier chirurgical et zirconium, et ça ne fait même pas mal. Belinda m’explique ce que je dois faire : garder les boucles pendant 6 semaines, nettoyer les trous avec la lotion spéciale pendant 2 mois, … Et c’est le passage en caisse : 18 € 72 (14 €, c’est le prix des boucles qui ont servi à percer mes esgourdes ; le perçage est gratuit, la lotion est offerte, et comme on a 20 % de réduction sur les articles du magasin et que ma cousine voulait s’acheter des anneaux, je lui paie). Nous ressortons, et je me regarde dans toutes les vitrines pour voir mes belles oreilles…

Rapide, indolore, pas cher… pour les ptits trous, choisissez Claire’s…

 

Pour davantage d’informations, http://www.claires.fr .

 

 

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